Théâtre Rival, 26/01 (photo Daniel A.)
-texto português em breve
La photo ci-dessus réunit Marcos Sacramento et Beatriz Faria –fille du grand Paulinho da Viola-, deux des chanteurs et protagonistes de la pièce musicale de Charles Möeller et Claudio Botelho, « É com esse que eu vou », qui se joue actuellement au Théâtre João Caetano de Rio de Janeiro…Sauf que…Sauf que ce double portrait fut tiré lors du show « Breque moderno », ce mercredi 26 janvier, au Théâtre Rival de la même ville. Une photo qui n’aurait jamais dû exister puisque, en lieu et place de Beatriz, on aurait dû voir Soraya Ravenle, autre actrice et chanteuse, qui avec Sacramento, présente ce spectacle de sambas humoristiques, idéalisé et arrangé par Luís Filipe de Lima, présent sur scène à la guitare.
En réalité, un stupide accident (comme la plupart des accidents !) ne pu permettre à Soraya de tenir sa place sur scène, et, en bonne collègue, le belle Beatriz est venue prêter main forte à l’équipe pour sauver le spectacle de ce soir-là. Signalons que Soraya fait également partie du casting de « É com esse eu vou », que je relaterai lors d’un prochain post…Ceci explique cela…
Je suis dès lors dans l’impossibilité de vous décrire le spectacle original, puisqu’il me fut confié qu’en dernière minute, le répertoire avait dû être en partie modifié.
Qu’importe, l’essence même de « Breque moderno », concrétisé dans un excellent album du même nom que je connaissais bien, sorti en 2010, avait été respecté.
Initialement intitulé « Samba de breque e outras bossas », le spectacle avait été présenté pour la première fois à Brasília en 2006.
En réalité, un stupide accident (comme la plupart des accidents !) ne pu permettre à Soraya de tenir sa place sur scène, et, en bonne collègue, le belle Beatriz est venue prêter main forte à l’équipe pour sauver le spectacle de ce soir-là. Signalons que Soraya fait également partie du casting de « É com esse eu vou », que je relaterai lors d’un prochain post…Ceci explique cela…
Je suis dès lors dans l’impossibilité de vous décrire le spectacle original, puisqu’il me fut confié qu’en dernière minute, le répertoire avait dû être en partie modifié.
Qu’importe, l’essence même de « Breque moderno », concrétisé dans un excellent album du même nom que je connaissais bien, sorti en 2010, avait été respecté.
Initialement intitulé « Samba de breque e outras bossas », le spectacle avait été présenté pour la première fois à Brasília en 2006.
Composé donc de « samba de breque » (samba dont le rythme s’interromp pour laisser place à une tirade humoristique) et de samba choro, le show de ce soir-là s’est appuyé sur les épaules de Marcos Sacramento, brillant interprète qui se régale à jouer ces petites pièces humoristiques.
De temps à autre, ces chansons qui s’articulent souvent autour d’un dialogue entre homme et femme -des duos/ duels- vit l’intervention de Luís Filipe de Lima lui-même, quand ce n’était pas Sacramento qui s’attaquait aux deux rôles.
Et puis bien sûr, en luxueux dépannage, l’intervention de Beatriz Faria, aux yeux malicieux dont je n’arrive toujours pas à me remettre...
De temps à autre, ces chansons qui s’articulent souvent autour d’un dialogue entre homme et femme -des duos/ duels- vit l’intervention de Luís Filipe de Lima lui-même, quand ce n’était pas Sacramento qui s’attaquait aux deux rôles.
Et puis bien sûr, en luxueux dépannage, l’intervention de Beatriz Faria, aux yeux malicieux dont je n’arrive toujours pas à me remettre...
Quoi qu’il en soit, spectacle originale ou pas, la bonne humeur et les excellentes prestations, sans parler des musiciens, ne me firent sentir aucun manque en particulier, et qui sait, j’aurais l’occasion de revoir « Breque moderno » dans sa formule normale une autre fois…
Pour informations, l’excellent album possède quelques petites perles comme "Tem que rebolar" (José Batista/ Magno de Oliveira), "Quem é?" (Custódio Mesquita e Joracy Camargo) et "Boneca de piche" (Ary Barroso e Luiz Iglésias). Ainsi que les inédits "Disse-me-disse", de Bucy Moreira, et "Samba no Nepal", de Jota Canalha.
Pour informations, l’excellent album possède quelques petites perles comme "Tem que rebolar" (José Batista/ Magno de Oliveira), "Quem é?" (Custódio Mesquita e Joracy Camargo) et "Boneca de piche" (Ary Barroso e Luiz Iglésias). Ainsi que les inédits "Disse-me-disse", de Bucy Moreira, et "Samba no Nepal", de Jota Canalha.
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