jeudi 24 février 2011

TROPICALIA 73 (part 2)




Adriana Calcanhotto em outras vozes...

Eis aqui a lista das canções tocadas ao vivo no programa Tropicália, na Rádio Judaica Bruxelas (90,2 Fm), o dia 20/02. Pra escutar este programa, e outros mais antigos, cliquem AQUI.


Voici la liste des titres joués en direct dans le programme Tropicalia du 20/02, sur Radio Judaica Bruxelles (90,2 Fm). Pour réécouter cette émission et d’autres plus anciennes, cliquez ICI

CIDADE NEGRA (c/ Lulu Santos) : « Sábado a noite » (Lulu Santos)
RITA LEE : « Amor e sexo » (Rita Lee/ Roberto de Carvalho/ Arnaldo Jabor)
ELBA RAMALHO : « Morena de Angola » (Chico Buarque)
TERESA CRISTINA & MARISA MONTE : « Beijo sem » (Adriana Calcanhotto)
MARISA MONTE : « Vais saber ? » (Adriana Calcanhotto)
ADRIANA CALCANHOTTO : « Tá na minha hora » (Adriana Calcanhotto)
SIMONE : « Certas noites » (Adriana Calcanhotto)
KLEBER ALBUQUERQUE : « Esquadros » (Adriana Calcanhotto)
TOM JOBIM : « Águas de março » (Tom Jobim)
MILTON NASCIMENTO : « Canção amiga » (Miton Nascimento/ Carlos Drumond de Andrade)
LEGIÃO URBANA : « Pais e filhos » (Dado Villa-Lobos/ Renato Russo/ Marcelo Bonfá)
CÁSSIA ELLER : « Malandragem » (Cazuza/ Frejat)

1 commentaire:

Mathias a dit…

Salut Daniel,

J'habite au Brésil, a Rio...
J'ai découvert ton programme sur les podcasts de mon portable!
J'ai déjà écoutée le nº 73 et je viens ici pour te féliciter!
J'ai fait une liste avec des suggestions que j'aime bien comme musique...

- Caetano Veloso- Trem das cores.
- Caetano Veloso- Leãozinho
- Caetano Veloso- Você não entende nada.
- Chico Buarque- Minha História

Et je sais pas si tu connais, mais il y a une chanteuse merveilleuse que s'appelle Monica Salmaso, elle est vraiment bonne!
Tu parle vachement bien le portugais!!
Bon, j'attends le prochain nº!!!
Encore une fois, félicitations!!
=)

Mathias

CE BLOG EST DÉDIÉ AUX CURIEUX QUI AIMERAIENT CONNAÎTRE L'ART ET LA MUSIQUE POPULAIRE BRÉSILIENNE. UNE OCCASION POUR LES FRANCOPHONES DE DÉCOUVRIR UN MONDE INCONNU OU IL EST DE MISE DE LAISSER SES PRÉJUGES AU VESTIAIRE.