dimanche 25 mai 2014

Ces 22 et 23 mai: Daúde et Déa Trancoso


   fotos e textos portuguêses no site Tropicalia Mpb: http://www.tropicalia.be/pt/  

 Aujourd’hui…Le nombre de concerts que propose la ville de São Paulo est impressionnant ! Chaque semaine, du mercredi au dimanche, il n’est pas rare de se retrouver devant un choix de 3 à 5 concerts intéressants. Sur le site Tropicalia MPB, je vous en propose (seulement) deux, qui concerne deux chanteuses que j’ai toujours beaucoup appréciées. 


Daúde, photo Daniel Achedjian

 

D’abord Daúde , qui n’avait plus enregistré d’albums depuis 2003, et qui revient avec « Código Daude », un bon album de reprises modernisées qui couvrent une période qui va de 1930 à 2005 ( !). J’avais vu Daúde à Bruxelles en 1996, lors d’une tournée qui faisait suite à son premier album de 1995, et qui proposait une musique flirtant avec le samba funk, ou le samba rock électronique. Dotée d’une voix puissante, la chanteuse - sorte de mélange entre grâce Jones et Joséphine Baker - a livré un bon concert au Sesc Pompeia, ce 22 mai, devant, hélas, un public clairsemé. La prestation est donc apparue froide, mais ceci est davantage le fait de l’endroit choisi - un théâtre avec places assises - que le show en lui-même. 



Dans un style bien différent, Déa Trancoso présentait avec le guitariste Paulo Bellinati, « Flor do Jequi » (2012), son troisième album, à la Casa de Francisca (SP), ce 23 mai, avec en invité, l’imposant Marcelo Pretto. Déa est une sorte d’ambassadrice de la Vallée de Jequitinhonha – connue pour son art populaire – région très rurale du Minas Gerais. Un excellent show de cette chanteuse « régionale », qui a su séduire la scène branchée de São Paulo. Plus de détails, des photos et vidéos de ces deux artistes sur le site Tropicalia MPB


Déa Trancoso, photo Daniel Achedjian


Aucun commentaire:

CE BLOG EST DÉDIÉ AUX CURIEUX QUI AIMERAIENT CONNAÎTRE L'ART ET LA MUSIQUE POPULAIRE BRÉSILIENNE. UNE OCCASION POUR LES FRANCOPHONES DE DÉCOUVRIR UN MONDE INCONNU OU IL EST DE MISE DE LAISSER SES PRÉJUGES AU VESTIAIRE.