Ceux qui ont vu les premiers shows de Silvia Machete dans les petites salles de Rio en 2007, ont gardé en mémoire les numéros de hula hoop, de trapèzes, de moments de stand up sexy, des perruques et des fausses colombes, et se souviennent d’une artiste qui jongle avec le public avec aisance et humour.
Mais dès le début (puisque je fis partie de ceux-là), ce furent plutôt sa voix (excellente technique !) et ses compositions qui attirèrent mon attention. De là, la peur de revoir les mêmes numéros de cabaret qui auraient occulté les nouvelles compositions qui feront partie de son second album studio, « Extravaganza», prévu pour juillet.
Ce 4 juin, au Tom Jazz de São Paulo, Silvia commença le show en avertissant sous forme de clin d’œil : « J’ai une bonne nouvelle…Ceux qui ne m’ont jamais vue vont adorer le spectacle…et une mauvaise…Ceux qui m’ont déjà vue, verront la même chose ! ».
Mais en réalité, Silvia Machete a rééquilibré son spectacle, pour éviter les redites.
Il y eut bien quelques moments d’humour déjà utilisés, mais elle s’est davantage concentrée à montrer la bonne interprète qu’elle était.
Commençant par Eligia de Caetano Veloso, elle embraya sur les titres de son premier album « Bomb of love » (Foi ela, Só quero saber de você, 2 hot to be romantic ou Toda bêbada canta) tout en insérant quelques nouvelles chansons : Meu carnaval, Noite torta, O Baixo, Sabado e domingo (cette dernière d’Alberto Continento et Domenico Lancellotti) ou encore Mango tree, musique le la B.O. du film « Dr. No » (le James Bond de 1962) que la chanteuse Cibelle –gentiment égratignée par Silvia- vient récemment d’enregistrer.
Mais dès le début (puisque je fis partie de ceux-là), ce furent plutôt sa voix (excellente technique !) et ses compositions qui attirèrent mon attention. De là, la peur de revoir les mêmes numéros de cabaret qui auraient occulté les nouvelles compositions qui feront partie de son second album studio, « Extravaganza», prévu pour juillet.
Ce 4 juin, au Tom Jazz de São Paulo, Silvia commença le show en avertissant sous forme de clin d’œil : « J’ai une bonne nouvelle…Ceux qui ne m’ont jamais vue vont adorer le spectacle…et une mauvaise…Ceux qui m’ont déjà vue, verront la même chose ! ».
Mais en réalité, Silvia Machete a rééquilibré son spectacle, pour éviter les redites.
Il y eut bien quelques moments d’humour déjà utilisés, mais elle s’est davantage concentrée à montrer la bonne interprète qu’elle était.
Commençant par Eligia de Caetano Veloso, elle embraya sur les titres de son premier album « Bomb of love » (Foi ela, Só quero saber de você, 2 hot to be romantic ou Toda bêbada canta) tout en insérant quelques nouvelles chansons : Meu carnaval, Noite torta, O Baixo, Sabado e domingo (cette dernière d’Alberto Continento et Domenico Lancellotti) ou encore Mango tree, musique le la B.O. du film « Dr. No » (le James Bond de 1962) que la chanteuse Cibelle –gentiment égratignée par Silvia- vient récemment d’enregistrer.
À la fin du concert, je ne pus m’empêcher d’aller jeter un œil sur la playlist collée au sol, pour constater que concernant les reprises, Silvia -entourée de Fabiano Krieger (guitare), Joao di Sabbato (batterie), Roberto Silva (trombone) et Bruno di Lullo (basse)- décide de varier le menu selon son bon vouloir. Pas de Filha de Chiquita Bacana comme prévu, mais bien un hommage à Erasmo Carlos (qui fête ces jours-ci son soixante neuvième anniversaire) avec Imoral, ilegal, ou engorda, La vie en rose (Piaf/ Louis Gugliemi), Volta por cima (Paulo Vazolini), ou Stand by your man, de Tamy Winette , dont Silvia se fit un plaisir de parodier le look « sixties ».
(Personnellement, j’avais aussi gardé un très bon souvenir des versions punks de Garota de Ipanema et Careless Whisper !).
Pour corriger les paroles de Silvia Machete, on dira donc que : « qui ne connaissait pas, a aimé ; qui avait déjà vu, a toujours apprécié : et qui verra, aimera ! »
(Personnellement, j’avais aussi gardé un très bon souvenir des versions punks de Garota de Ipanema et Careless Whisper !).
Pour corriger les paroles de Silvia Machete, on dira donc que : « qui ne connaissait pas, a aimé ; qui avait déjà vu, a toujours apprécié : et qui verra, aimera ! »
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