…C’est alors que je me rends compte que je n’ai pas mentionné que pour des raisons extra culturelles (pas forcément agréables), j’ai dû me rendre de manière impromptue au Brésil, toujours sur l’axe Rio-Sao Paulo…Et ceci pour quelques semaines, très certainement.
Mais voyons le côté très positif de la chose : il y aura donc matière à nourrir ce blog de nouvelles musicales de première fraîcheur !
Tandis que je viens donc de quitter un été européen particulièrement étouffant, c’est une pluie ininterrompue qui s’abat sur le sud-ouest du Brésil, parasitant les initiatives de chacun.
Passant par Ipanema, ce vendredi soir 16 juillet, ce fut l’occasion de découvrir le Oi Futuro, une petite salle de spectacle dont le quartier avait bien besoin. D’autant que la programmation sort un peu du cadre de la MPB traditionnelle, en proposant des noms apparentés à la scène indépendante et plus alternative.
Pour mon plus grand bonheur, en cette fin de semaine, c’est le groupe pernambucano d’Olinda, Banda Eddie, qui tient l’affiche pour trois jours d’affilés.
Ce groupe m’enthousiasme depuis une dizaine d’années, mais il existe déjà depuis 1989, étant en cela, une des plus anciennes formations de la mouvance du fameux Mangue Beat de l’axe Recife-Olinda.
Mais voyons le côté très positif de la chose : il y aura donc matière à nourrir ce blog de nouvelles musicales de première fraîcheur !
Tandis que je viens donc de quitter un été européen particulièrement étouffant, c’est une pluie ininterrompue qui s’abat sur le sud-ouest du Brésil, parasitant les initiatives de chacun.
Passant par Ipanema, ce vendredi soir 16 juillet, ce fut l’occasion de découvrir le Oi Futuro, une petite salle de spectacle dont le quartier avait bien besoin. D’autant que la programmation sort un peu du cadre de la MPB traditionnelle, en proposant des noms apparentés à la scène indépendante et plus alternative.
Pour mon plus grand bonheur, en cette fin de semaine, c’est le groupe pernambucano d’Olinda, Banda Eddie, qui tient l’affiche pour trois jours d’affilés.
Ce groupe m’enthousiasme depuis une dizaine d’années, mais il existe déjà depuis 1989, étant en cela, une des plus anciennes formations de la mouvance du fameux Mangue Beat de l’axe Recife-Olinda.

Plus de 20 ans de carrière donc, pour Fabio Trummer (le seul membre original du groupe), mais le public très jeune d’hier soir, devait être préadolescent quand en 1993, Eddie donnait au répertoire du Mangue Beat, une de ses perles à inscrire dans ses classiques : Quando o mar encher, mis en exergue par Naçao Zumbi en 2000, et immortalisé à la même époque par Cassia Eller.
Quando o mar encher n’était pas au répertoire, hier soir, mais ce furent d’autres titres irrésistibles qui mirent le feu à la salle comme Lealdade, É de fazer chorar, Vida boa (franchement top celle-là !) et d’autres morceaux tirés de leur dernier album « Carnaval no inferno » (2008), que je cherchais depuis des mois, et que le concert d’hier soir m’a donné l’occasion d’acquérir. Sur ce cd, on retrouve -outre le percussionniste Curumin- une des figures féminines les plus en vue de la scène pauliste actuelle, Karina Buhr, qui faisait déjà partie intégrante du groupe à ses débuts.
La semaine prochaine, ce sera au tour d’un autre nom incontournable de la scène Mangue, Mundo Livre S.A., d’envahir le Oi Futuro Ipanema…
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